Semaine 4 (Et oui déjà)

Lundi 25 septembre 2017
Poids : 48 KG ? 50 ?
Poste : toujours le même mais vu mes erreurs, à quand le licenciement ?
Bonne nouvelle du jour : 1

Je perds enfin (un peu) mon pantalon tailleur que je moulais bien plus avant !
Mon objectif s’atteint-il ? Aucune idée, balance beaucoup trop loin pour me risquer à monter dessus.
Peut-être, est-ce la peur d’être déçue d’autant plus que cette semaine a été forte en extra.
Entre le pot de départ de notre charmante stagiaire (bien plus douée que moi) et les gâteaux apéro qui se sont inventés à la table (hier soir et ce midi), je crains que ce pas en avant recule de trois pas en arrière.

Et puis, hyper crevée par cette année sans vacances, cette levée matinale pour découvrir de nouvelles routes de campagnes pour me rendre au taf (maudite voie expresse qui se construit quoique elle va faciliter la vie de plus d’un dans un avenir lointain) doublée d’une livraison foireuse de dernière minute chez une cliente (hélas le code d’entrée n’a rien voulu savoir, en même je suis clerc et non factrice, j’aime aider mon prochain, me donner à fond dans mon travail mais il ne faut pas exagérer) et cette obligation de refaire son plein avant la pénurie.
Sacrée journée !

Est-ce la bonne expression ? J’en doute…

Après cette prise de conscience, TOPO :
Eléments ingurgités dans la soirée :
- 1 kiwi,
- une bonne poignée de raisin italiens
- une pomme
- une compte allégée en sucre
- et une bonne quantité de pain
Régime : 0
Calories : 1
GRRR...
Un peu de bonne volonté !

Une semaine, donc, pas très rose qui m’a permise de comprendre pourquoi mon travail se trouvait à la 1ère place des postes les plus ingrats. Les clients n’ont aucune compassion. Que tu débutes ou non, ces derniers te hurlent dessus et bien sûr te catalogues au titre de feignant car déjà fortement débordée, tu n’as pas eu le temps de te plonger dans leur dossier (ou très rapidement). Alors pour la première fois depuis mon commencement, j’ai fermé ma porte, prier pour qu’on ne m’entende pas et j’ai pleuré. Cela ne m’a pas fait du bien, néanmoins, j’en avais bien besoin. Je ne me sens pas réellement à la hauteur, une forte impression d’avoir d’importantes lacunes juridiques me taraude malgré les paroles réconfortantes de mes collègues. Sortir de l’école n’est pas facile mais mon parcours atypique complique les choses davantage. Je n’ai pas fait des études exclusivement attachées à la voie dans laquelle je viens de m’engager. Toucher un peu à tous les domaines du Droit n’est finalement guère avantageux car même en songeant à une réorientation dans une autre branche juridiques, les lacunes seront là car je ne serai pas assez pointu dans mon domaine. Un cercle sans fin quoi. Une horreur intersidérale.

Moral : 0

Bonne nouvelle du jour cependant : 1
Et l’auteur n’est autre que bonne copine E. Réservation surprise pour THE concert, au mois de Décembre, du beau Juju qui étincelle de mille feu comme le veut si bien son nom. Excitée comme une petite fille qui attend impatiemment sa glace ou sa sucette, je réfléchis déjà à mon look. Fera-t-il chaud, froid ? Dois-je être bohème ? Plutôt rock ? Ou punk ?

HELP ! Question fatidique non ?


Surtout qu’un nouveau tri s’est imposé dans mon placard. Adieu vieux top de marques, pantalon grossissant et bonjour nouveau dressing tout frais tout neuf. A qui dois-je cette charmante idée ? Une fois encore à ma super copine E. qui s’est créée un compte dans un dépôt stock et qui m’a dit au lieu de jeter tous ces vêtements, mets-les moi de côté je te créer un compte : le mois dernier je me suis suis fait 180 euros. Ni une, ni deux, il ne m’en fallait pas plus pour me convaincre de remettre le nez dans les fonds de tiroirs (et oui j’ai jeté les 3/4 de mes vêtements au début de l’été – j’aurais pu me faire un beau petit pactole, trop tard maintenant, tant pis), la prochaine fois sera la bonne

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